Documentation sur la théorie et la pratique szondienne
Bienvenue sur le site internet du Groupe d’Études Szondiennes (GES) de Montpellier. Ce site regroupe l’ensemble des documents propres au GES, qui sont mis à votre disposition pour lire ou télécharger.
Au fur et à mesure de l’avancement de notre travail de numérisation, nous ferons figurer sur ce site les travaux et documents nous paraissant les plus importants à transmettre :
- articles de « Fortuna », la revue du groupe,
- traductions en français des deux livres principaux de Szondi (Analyse du Moi et Pathologie pulsionnelle). Elles ont été réalisées par Mme R.Pruschy pour le GES.
- travail sur l’utilisation de la pensée szondienne dans le champ de l’orientation professionnelle,
- liste et sommaire des N° de Fortuna. Les numéros disponibles pourront vous être envoyés gratuitement sous réserve de l’acquittement des frais d’expédition.
L’Histoire de GES MONTPELLIER
Avant que le Groupe d’Etudes Szondiennes de Montpellier ne se constitue en 1985, c’est à Jean Birouste (†2014) dans les années 1973-74 que certain(e)s d’entre-nous doivent la première initiation au test de Szondi. Parler d’initiation n’est pas tout à fait juste, disons plutôt d’ « allusion au test de Szondi » comme quelque chose qui ne nous serait pas donné d’emblée et qu’il faudrait « aller chercher ». C’est ainsi que tout à commencé :
Le Groupe d’Etudes Szondiennes a compté une centaine d’adhérents de 1985 à 2014 dont :
- Patrick ANDRE
- Mohamed BELHADJ
- Jean BIROUSTE
- Gabriel BUFFARD
- Marie-Céline CAMERLO
- Christian CLAIR
- Marie-France FERRARI
- Raymonde GAREMI
- Christiane Gauze Saënz de Cabezon
- Anne GAYRAL
- Gérard GOMEZ-SUERTEGARAY
- Ghyslaine HAUC
- Monique HENRY
- Bernadette MATTAUER
- Patricia ORLANDINI
- Dominique PASCUAL-PEYROT
- Catherine PITHON
- Joëlle PORTAL-GARDES
- Philippe REIGNIER
- Nathalie THERET
- Jean-Claude VILLANUEVA
Si d’anciens adhérents souhaitent figurer sur ce site, ils peuvent nous contacter directement, la plupart des adresses postales n’étant pas actualisées pour pouvoir le faire nous-mêmes.
Fortuna: le bulletin du GES
La nécessité de formaliser par écrit les échanges entre les membres du G.E.S. est la première raison de l’existence de « Fortuna ».
Sa diffusion a permis une grande ouverture aux théorisations de la pensée szondienne à propos des recherches au service du soin.
Elle a aussi interrogé les conduites culturelles dans le domaine de l’art par exemple, qui valent pour chacun en tant qu’être humain.
